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jeudi 9 février 2012

Suite de la Découverte Florale à Istres .

 Aqwaman : Nikon D 3100 /  objectif 55/300 mm .
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 L'expression « écologie du paysage »

  (Landscape Ecology pour les anglophones, Landschaftsökologie ou Geoökologie (Géoecologie) aurait été créée par Carl Troll en 1939.
L'IALE (association internationale d'écologie du paysage) la définit comme l'étude de la variation spatiale dans les paysages à différentes échelles, incluant les causes biophysiques et sociales et les conséquences de l'hétérogénéité écopaysagère, ce qui en fait une branche nécessairement interdisciplinaire des sciences.

La richesse, l'hétérogénéité écopaysagère et l'intégrité écologique d'un milieu (Zone humide de Cape May (New Jersey, USA) sont des concepts fondamentaux pour l'écologie du paysage, à différentes échelles spatiales et temporelles

L'écologue du paysage s'intéresse aux aspects fonctionnels de la structure du paysage, et pour cela à la nature, la taille l'agencement et à la connectivité des « taches » du paysage par exemple ici ; milieux fermés et ouverts

Milieux ouverts et fermés composent le paysage, avec un degré de naturalité plus ou moins important (ici, au Japon)
Toujours selon l'IALE, ses principaux sujets d'intérêt sont :
  • La répartition spatiale et la structure des paysages, allants de la nature sauvage aux milieux urbains et anthropisés ;
  • La relation entre structure et processus à toutes les échelles paysagères ;
  • La relation entre activité humaine et structure du paysage, le processus et le changement ;
  • Les effets d'échelle et les effets (positifs ou négatifs) des perturbations (anthropiques ou naturelles) sur le paysage.
Il existe aussi un lien forte entre écologie du paysage et santé1 (via l'impact des structures écopayères sur les parasites et microbes et maladies émergentes, domaines étudiés par l'écoépidémiologie). Ceci est particulièrement vrai pour les parasites et microbes non-ubiquistes, c'est-à-dire véhiculés par des vecteurs biologiques ou liés à un milieu particulier ou à des espèces particulières.

  Aqwaman : Nikon D 3100 /  objectif 55/300 mm .
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  a. Origines

L'ikebana (fleurs vivantes) est un art récent si on le considère uniquement sous cette appellation, car le terme "ikebana" ne date que du XVIe siècle. Toutefois, l'art floral est apparu au Japon bien avant qu'il soit nommé ainsi.
C'est avec le shintoisme et le bouddhisme (qui apparaît au Japon vers le VIe siècle) que l'on voit apparaitre les premières compositions florales. Le Shintô (la voie des Dieux) se fonde sur "le culte de la nature, le respect des ancêtres et un sentiment de communion avec les forces de l'univers et les générations passées" (Edwin O. Reischauer in "Histoire du Japon et des Japonais, des origines à 1945" p.30). Les fleurs représentaient le biais par lequel les dieux et les hommes pouvaient communiquer, les dieux étant (conformémant à cette croyance) "invités" par les fleurs. La fleur est donc considérée comme un objet vivant quasi-divin créant un pont entre le monde mortel et le monde immortel, périssable et éternel. Les offrnades florales bouddhiques (kuge) sont d'origine chinoise, en effet la vie monacale était étroitement associée aux activités artistiques. Il est d'ailleurs intéressant de noter que Bouddha lui-même est assis sur une fleur de lotus (fleur symbole de pureté et de perfection, elle représente le ciel, la création et le temps passé, présent et futur). La secte bouddhique Jodo (Xe - XIIIe siècles), quant à elle, croyait en l'existence d'un paradis rempli de fleurs.

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