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mardi 7 février 2012

L'Age de Glace





Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Les grandes oscillations climatiques
Les changements climatiques correspondent aux périodes glaciaires et interglaciaires.
Ces variations climatiques se sont produites à 10 reprises au moins, espacées d’environ 100 000 ans.
Les périodes de réchauffement comme celle que nous vivons actuellement durent environ 20 000 ans.
Contrairement à ce que l’on pensait, la fin des âges glaciaires peut intervenir très rapidement (quelques dizaines d’années au maximum). Cette rapidité explique peut être l’extinction de certaines espèces (mammouths, mégacéros) qui n’ont pas eu le temps de s’adapter au réchauffement du climat.
Les conséquences des périodes glaciaires
A chaque grand changement climatique, il faut que les espèces animales et végétales s’adaptent pour ne pas disparaître.
Plusieurs effets sont constatés :
  • Une quantité considérable d’eau est stockée sous forme de glace : c’est la glaciation
  • Le niveau des océans s’abaisse d’environ 120 m
  • Une réduction importante des pluies permet l’extension des déserts
On peut citer plusieurs exemples qui permettent de mieux comprendre les grands bouleversements que ces périodes froides entraînent.
Pendant le dernier âge glaciaire, une calotte de glace épaisse de plus de 1 500 m recouvrait le tiers du continent nord-américain (dont le New York actuel).
En Europe, les glaciers recouvraient une bonne partie des îles britanniques, la Finlande, la Russie, la Pologne et une partie de l’Allemagne.
Dans les régions froides qui ont échappé aux glaces, les sols sont gelés parfois jusqu’à 300 m. Les vents froids qui balaient ces régions soulèvent des nuages de poussière pouvant s'accumuler jusqu’à 200 m d’épaisseur.
C’était le cas en Chine du Nord ou en Europe Occidentale.
A l’inverse, les régions subtropicales, comme l’actuelle Egypte ou le Sénégal, deviennent très arides par manque de pluies.
Les grandes forêts laissent alors la place à la savane.
L’homme et les âges glaciaires
Les groupes humains du paléolithique ont été obligés de se déplacer au rythme des variations climatiques.
Le meilleur exemple d’adaptation au froid est le Néandertalien. Il a réussi à survivre aux deux dernières périodes glaciaires. D’une part, sa morphologie était parfaitement adaptée au froid et d’autre part, il migrait en fonction de la faune et de la flore disponibles. Il a ainsi occupé toute l’Eurasie occidentale, la France et l’Allemagne.
Mammouths, rhinocéros laineux, lions des cavernes et rennes vivaient sous nos latitudes à cette époque pas si lointaine.

Le soleil serait en cause dans ce scénario où la planète entrerait dans une phase solaire de très basse intensité. Ce même soleil qui est responsable d'une bonne partie du réchauffement actuel depuis les années 30. Dans le même temps cela pourrait signifier la fin de la sécheresse Saharienne.




 
Les grandes oscillations climatiques

Les changements climatiques correspondent aux périodes glaciaires et interglaciaires.
Ces variations climatiques se sont produites à 10 reprises au moins, espacées d’environ 100 000 ans.
Les périodes de réchauffement comme celle que nous vivons actuellement durent environ 20 000 ans.
Contrairement à ce que l’on pensait, la fin des âges glaciaires peut intervenir très rapidement (quelques dizaines d’années au maximum). Cette rapidité explique peut être l’extinction de certaines espèces (mammouths, mégacéros) qui n’ont pas eu le temps de s’adapter au réchauffement du climat.
Les conséquences des périodes glaciaires
A chaque grand changement climatique, il faut que les espèces animales et végétales s’adaptent pour ne pas disparaître.
Plusieurs effets sont constatés :
  • Une quantité considérable d’eau est stockée sous forme de glace : c’est la glaciation
  • Le niveau des océans s’abaisse d’environ 120 m
  • Une réduction importante des pluies permet l’extension des déserts
On peut citer plusieurs exemples qui permettent de mieux comprendre les grands bouleversements que ces périodes froides entraînent.
Pendant le dernier âge glaciaire, une calotte de glace épaisse de plus de 1 500 m recouvrait le tiers du continent nord-américain (dont le New York actuel).
En Europe, les glaciers recouvraient une bonne partie des îles britanniques, la Finlande, la Russie, la Pologne et une partie de l’Allemagne.
Dans les régions froides qui ont échappé aux glaces, les sols sont gelés parfois jusqu’à 300 m. Les vents froids qui balaient ces régions soulèvent des nuages de poussière pouvant s'accumuler jusqu’à 200 m d’épaisseur.
C’était le cas en Chine du Nord ou en Europe Occidentale.
A l’inverse, les régions subtropicales, comme l’actuelle Egypte ou le Sénégal, deviennent très arides par manque de pluies.
Les grandes forêts laissent alors la place à la savane.
L’homme et les âges glaciaires
Les groupes humains du paléolithique ont été obligés de se déplacer au rythme des variations climatiques.
Le meilleur exemple d’adaptation au froid est le Néandertalien. Il a réussi à survivre aux deux dernières périodes glaciaires. D’une part, sa morphologie était parfaitement adaptée au froid et d’autre part, il migrait en fonction de la faune et de la flore disponibles. Il a ainsi occupé toute l’Eurasie occidentale, la France et l’Allemagne.
Mammouths, rhinocéros laineux, lions des cavernes et rennes vivaient sous nos latitudes à cette époque pas si lointaine.

Le soleil serait en cause dans ce scénario où la planète entrerait dans une phase solaire de très basse intensité. Ce même soleil qui est responsable d'une bonne partie du réchauffement actuel depuis les années 30. Dans le même temps cela pourrait signifier la fin de la sécheresse Saharienne.

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