Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
L'expression « écologie du paysage »
(Landscape Ecology pour les anglophones, Landschaftsökologie ou Geoökologie (Géoecologie) aurait été créée par Carl Troll en 1939.
L'IALE (association internationale d'écologie du paysage) la définit comme l'étude de la variation spatiale dans les paysages à différentes échelles, incluant les causes biophysiques et sociales et les conséquences de l'hétérogénéité écopaysagère, ce qui en fait une branche nécessairement interdisciplinaire des sciences.
Toujours selon l'IALE, ses principaux sujets d'intérêt sont :
L'expression « écologie du paysage »
(Landscape Ecology pour les anglophones, Landschaftsökologie ou Geoökologie (Géoecologie) aurait été créée par Carl Troll en 1939.
L'IALE (association internationale d'écologie du paysage) la définit comme l'étude de la variation spatiale dans les paysages à différentes échelles, incluant les causes biophysiques et sociales et les conséquences de l'hétérogénéité écopaysagère, ce qui en fait une branche nécessairement interdisciplinaire des sciences.
Toujours selon l'IALE, ses principaux sujets d'intérêt sont :
- La répartition spatiale et la structure des paysages, allants de la nature sauvage aux milieux urbains et anthropisés ;
- La relation entre structure et processus à toutes les échelles paysagères ;
- La relation entre activité humaine et structure du paysage, le processus et le changement ;
- Les effets d'échelle et les effets (positifs ou négatifs) des perturbations (anthropiques ou naturelles) sur le paysage.
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
Aqwaman : Nikon D 3100 / objectif 55/300 mm .
a. Origines
L'ikebana (fleurs vivantes) est un art récent si on le considère uniquement sous cette appellation, car le terme "ikebana" ne date que du XVIe siècle. Toutefois, l'art floral est apparu au Japon bien avant qu'il soit nommé ainsi.
C'est avec le shintoisme et le bouddhisme (qui apparaît au Japon vers le VIe siècle) que l'on voit apparaitre les premières compositions florales. Le Shintô (la voie des Dieux) se fonde sur "le culte de la nature, le respect des ancêtres et un sentiment de communion avec les forces de l'univers et les générations passées" (Edwin O. Reischauer in "Histoire du Japon et des Japonais, des origines à 1945" p.30). Les fleurs représentaient le biais par lequel les dieux et les hommes pouvaient communiquer, les dieux étant (conformémant à cette croyance) "invités" par les fleurs. La fleur est donc considérée comme un objet vivant quasi-divin créant un pont entre le monde mortel et le monde immortel, périssable et éternel. Les offrnades florales bouddhiques (kuge) sont d'origine chinoise, en effet la vie monacale était étroitement associée aux activités artistiques. Il est d'ailleurs intéressant de noter que Bouddha lui-même est assis sur une fleur de lotus (fleur symbole de pureté et de perfection, elle représente le ciel, la création et le temps passé, présent et futur). La secte bouddhique Jodo (Xe - XIIIe siècles), quant à elle, croyait en l'existence d'un paradis rempli de fleurs.
a. Origines
L'ikebana (fleurs vivantes) est un art récent si on le considère uniquement sous cette appellation, car le terme "ikebana" ne date que du XVIe siècle. Toutefois, l'art floral est apparu au Japon bien avant qu'il soit nommé ainsi.
C'est avec le shintoisme et le bouddhisme (qui apparaît au Japon vers le VIe siècle) que l'on voit apparaitre les premières compositions florales. Le Shintô (la voie des Dieux) se fonde sur "le culte de la nature, le respect des ancêtres et un sentiment de communion avec les forces de l'univers et les générations passées" (Edwin O. Reischauer in "Histoire du Japon et des Japonais, des origines à 1945" p.30). Les fleurs représentaient le biais par lequel les dieux et les hommes pouvaient communiquer, les dieux étant (conformémant à cette croyance) "invités" par les fleurs. La fleur est donc considérée comme un objet vivant quasi-divin créant un pont entre le monde mortel et le monde immortel, périssable et éternel. Les offrnades florales bouddhiques (kuge) sont d'origine chinoise, en effet la vie monacale était étroitement associée aux activités artistiques. Il est d'ailleurs intéressant de noter que Bouddha lui-même est assis sur une fleur de lotus (fleur symbole de pureté et de perfection, elle représente le ciel, la création et le temps passé, présent et futur). La secte bouddhique Jodo (Xe - XIIIe siècles), quant à elle, croyait en l'existence d'un paradis rempli de fleurs.
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