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mardi 21 février 2012

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titediablesse59@hotmail.fr  // Jodie13


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Amicalement: the shooter of amateur photography.







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Amicalement : les shooter de la photographie amateur.

Petit Lestique de Guadeloupe vue par Philippe.



 Petit clin d'œil de Philippe




Les Couchée de Soleil et les noms de Villes

Pointe à Pitre
80 Km de Basse Terre






Capitale économique de la Guadeloupe, sous-préfecture et plus imporatante ville de Guadeloupe
avec 20 948 habitants
*.

C'est un pêcheur nommé Peter qui occupait les lieux au XVIIeme siècle qui donna son nom à la ville : "La Pointe à Peter" devint Pointe à Pitre. Les corsaires commencèrent à développer l' économie au XVIIIeme siècle.
Aujourd'hui Pointe à Pitre avec son Port et l'aéroport Pôle Caraïbes centralise tous les mouvements de marchandises de la Guadeloupe. Pointe à Pitre est réellement le c?ur économique de l' île.
Les catastrophes naturelles n'ont toutefois pas épargné cette ville : tremblements de terre et cyclones se sont succédés, ce qui explique qu'il n'y ait que quelques rares bâtiments anciens.

Le marché Saint Antoine : tous les jours de 6h00 à 15h00 sauf samedi après midi et dimanche. Odeur, couleur, animation... Tous les sens sont en éveil sur ce marché typiquement créole. L'endroit rêvé pour acheter des épices .

 
Anse-Bertrand
35 Km de Pointe-à-Pitre
Anse Bertrand s'appelait autrefois "Anse de Saint Bertrand" le village fût le lieu de refuge des indiens Caraïbes qui fuyaient devant les premiers colons. Par la suite le bourg devint l'un des hauts lieux de l'aristocratie Guadeloupéenne. La commune est aujourd'hui peuplée de 10663 habitants
 
Le Gosier
7 Km de Pointe-à-Pitre
Le Gosier porte le nom d'une espèce de pélican appelé Grand Gosier au XVIIème siècle en raison de la dimension exceptionnelle de son bec et de sa poche qui le caractérise.


Il y a encore 50 ans, le Gosier n'était qu'un petit village traversé par la route de Saint Anne à Pointe à PitreCette commune, située sur la côte sud de la Grande Terre, anciennement désignée quartier Saint Louis a longtemps été mentionnée comme étant le plus petit de tous les quartiers de la Grande Terre. Son développement rapide dans les années 60 est intimement lié à la qualité de son littoral. Le Gosier se développe alors autour des sucreries comme celle de la Grande Verdure, de Mantauban et de Dampierre. La commune trouve sa voie en 1934 lorsque la Chambre du Commerce de Pointe à Pitre ouvre l'un des premiers hôtels restaurants de l'île. La Pergola.

 
Le Moule
51 Km de Pointe-à-Pitre
Morne à l'Eau
14 Km de Pointe-à-Pitre
Port-Louis
30 Km de Pointe à Pitre 
Sainte-Anne
21 Km de Pointe à Pitre


Saint-François
37 Km de Pointe à Pitre



Philippe : Vacances en Guadeloupe 





Basse-Terre
62 Km de Pointe-à-Pitre
Baie-Mahault
5 Km de Pointe à Pitre
Bouillante
75 km de Pointe à Pitre
Capesterre Belle-Eau
26 Km de Basse Terre
35 Km de Pointe à Pitre
Deshaies
41 Km de Pointe à Pitre
Lamentin
10 Km de Pointe à Pitre
Petit-Bourg
15 Km de Pointe à Pitre
Pointe-Noire
15 Km de Pointe à Pitre - 56 Km de Basse-Terre
Saint-Claude
70 Km de Pointe à Pitre
6 km de Basse Terre
Sainte-Rose
20 Km de Pointe à Pitre
Trois Rivières
13 Km de Basse Terre - 48 Km de Pointe à Pitre
Vieux-Habitants
87 Km de Pointe à Pitre


Souvenir de Guadeloupe : La Soufrière volcan le plus dangereux d’Europe

 

Assurance des risques d’éruption volcanique : la Soufrière (Guadeloupe), troisième volcan le plus dangereux d’Europe



Histoire de la Soufrière

La Soufrière de Guadeloupe est l'un des neuf volcans actifs de l'arc des Petites Antilles. Elle appartient à un ensemble volcanique récent situé dans la partie sud de la Basse-Terre (Guadeloupe proprement-dite).
L'ensemble volcanique de la Soufrière est constitué de deux ensembles juxtaposés :
  • Le volcan composite de la Grande Découverte dont l'activité principale est représentée par la Soufrière sensu-stricto ;
  • L'ensemble éruptif de la Madeleine situé au sud-est du précédent et de dimensions plus modestes. 

 
L'édification du volcan composite de la Grande Découverte peut être subdivisée en trois phases principales

 200 000 à 42 000 ans : "phase Grande Découverte"

La première, ou phase "Grande Découverte", correspond à la construction de l'appareil principal. Il est installé sur le flanc sud des pitons de Bouillante et du Sans Toucher. Cette première phase se traduit par une alternance d'épisodes laviques effusifs et d' épisodes pyroclastiques. Elle se termine par la mise en place d'importants dépôts ponceux de plusieurs km³ dits de Pintade. Elle est responsable de la formation de la caldeira de la Grande Découverte dont seul reste visible le rempart nord.






42 000 à 11 500 ans : "phase Carmichaël"

La deuxième phase, ou "phase Carmichaël", est celle de l'édification du massif du Carmichaël à dominante lavique àl'intérieur de la caldeira de la Grande Découverte . Elle est suivie de la destruction sommitale du volcan par deux éruptions catastrophiques il y a 11 500 et 3 100 ans. Ces deux éruptions sont caractérisées par l'écroulement des flancs du volcan et par des explosions dirigées (blast) entraînant d'une part deux coulées de débris et, d'autre part, la formation de deux cratères en amphithéâtre: le cratères Carmichaël ouvert vers l'ouest et le cratère Amic ouvert vers le sud.
 
de 8 500 ans à nos jours : "phase Soufrière"

La troisième phase, ou "phase Soufrière", voit l'activité éruptive se localiser à l'intérieur ou sur les bordures du cratère Amic formé par l'épisode de la phase précédente. Trois éruptions magmatiques se succèdent : la mise en place du dôme Amic, la construction des cônes de scories de l'Echelle et de la Citerne et l'éruption de 1440 AD (redatée récemment à 1535 AD) qui donna naissance au dôme actuel de la Soufrière. Ce dernier a été, depuis cette date le siège de nombreuses éruptions phréatiques dont les plus intenses ont eu lieu en 1797-1798 et 1976-1977. Voir la description des éruptions historiques sur le site IPGP.

Voyage de Philippe en Guadeloupe Année 2012

           La Guadeloupe 2012 vue par notre ami Philippe


 
Ce petit territoire des Antilles situé dans a mer des Caraïbes, se trouve à environ .700 km de la France hexagonale, à 600 km au nord des côtes de l'Amérique du Sud, à 700 km à l'est de la République dominicaine et à 2 200 km au sud-est des États-Unis. En outre, il se compose d'îles et îlets, dont deux majeures habitées : la Grande-Terre et la Basse-Terre formant la Guadeloupe proprement dite. Plusieurs terres voisines, Marie-Galante, l'archipel des Saintes (Terre-de-Haut et Terre-de-Bas) et la Désirade sont rattachées administrativement à ce territoire.
La Guadeloupe tient son nom actuel du Monastère royal de Santa María, situé dans la ville espagnole de Guadalupe, dans la province de Cáceres en Estrémadure, dont la statue de la Vierge (la « Virgen de Guadalupe ») était vénérée par Christophe Colomb qui vint la remercier pour son aide lors de la découverte du « Nouveau monde ».


 Séjour en Guadeloupe de mon Ami : Philippe de Toulon.

 

Première colonisation française et développement de la traite des Noirs


À partir de 1635, Charles Liènard de l'Olive et Jean du Plessis d'Ossonville en prennent possession au nom de la Compagnie française des îles de l'Amérique. C'est le début de la colonisation de l'archipel.
Les débuts de la colonisation sont difficiles, quatre compagnies commerciales font faillite en tentant de coloniser les îles guadeloupéennes. La population augmente cependant rapidement et l'esclavage se développe. En 1656, les esclaves sont déjà 3 000 à travailler sur l'archipel, pour une population de 15 000 personnes.


La Guadeloupe et la Martinique passent sous l'autorité directe du roi de France Louis XIV, qui décide alors de développer la culture de la canne à sucre, plus onéreuse mais beaucoup plus rentable [Quoi ?], en donnant des terres à des officiers supérieurs et en les encourageant à y importer des esclaves ; cependant la population d'esclaves diminue en Guadeloupe entre 1664 et 1671 (passant de 6 323 à 4 627 personnes).
Dès 1671, le monopole de la Compagnie des Indes occidentales est aboli pour ouvrir la concurrence à tous les ports français, dans la traite négrière, dont le développement massif, par des Français et des Anglais, fait flamber le prix des esclaves mais abaisse le coût de leur transport et satisfait les planteurs de sucre. La Guadeloupe est encore habitée par de nombreux colons blancs qui cultivent du tabac, sur des plantations nécessitant peu de capitaux.
Après 1671, le nombre de planteurs blancs diminue rapidement et en 1674, la création de la ferme du tabac entraîne leur ruine. Moins taxé, le tabac produit en Virginie par des planteurs jacobites profite de la contrebande et prend son essor.






À partir de 1775, la Guadeloupe, n'est plus rattachée à la Martinique mais reste sous l'autorité du gouverneur des îles du Vent.
En avril 1794, profitant des troubles provoqués par la Révolution française, les Britanniques reprennent brièvement possession de l'île, après la défaite le 20 avril de Basse-Terre et la capitulation du général et gouverneur depuis 1792, Georges Henri Victor Collot.
Un commissaire de la République, Victor Hugues, les en chasse dès l'été, aidé par les esclaves auxquels il avait promis la liberté. Ce dernier annonce, le 7 juin 1794, l'abolition de l'esclavage (adopté par la Convention nationale au mois de février par la loi du 16 pluviôse an II). Victor Hugues, dit « Le Terrible », met en place les lois de la Convention et par conséquent le tribunal révolutionnaire. Les planteurs (dont certains soutenaient l'Angleterre) ne se soumettant pas au nouveau régime, sont traduits devant ce tribunal. La répression du commissaire de la Convention sera étendue aux « anciens » esclaves qui se révoltèrent pour ne pas avoir été payés. En 1798, le directoire le rappela en France.
Il est remplacé par le général Desfourneaux, mais malgré sa volonté de réforme de la gestion locale, ce dernier est également remis en cause par la population et par une partie de l'armée.
En 1802, le premier Consul Bonaparte nomme Lacrosse gouverneur. Ce dernier tente de renvoyer de l'armée les officiers noirs, qui y avaient été intégrés après l'abolition de l'esclavage. Une révolte de ces officiers monte. Le propre aide de camps de Lacrosse, Louis Delgrès, métis, deviendra un des chefs de cette rébellion avec Joseph Ignace.
Bonaparte dépêche alors une expédition de 4 000 hommes dirigés par le général Richepance pour mater la rébellion. Après une défense héroïque, beaucoup de révoltés préfèrent se suicider plutôt que de se rendre. « Vivre libre ou mourir » dernières paroles de Louis Delgres3. La loi du 16 pluviôse an II qui avait aboli l'esclavage est annulée le 16 juillet 1802 par Bonaparte.
En 1808, les Anglais mènent une nouvelle campagne d'invasion des Antilles, prenant Marie-Galante et la Désirade, puis en 1809, les Saintes. En 1810, la Guadeloupe est à nouveau anglaise.
Après une première tentative de reconquête par la France en 1814 (Saint-Barthélemy avait été cédée à la Suède par le traité de 1784), les Britanniques ne restituèrent la Guadeloupe à la France qu'en 1816 (suite au Congrès de Vienne). Depuis, elle est restée sous souveraineté française jusqu’à nos jours.








La Guadeloupe et la Martinique passent sous l'autorité directe du roi de France Louis XIV, qui décide alors de développer la culture de la canne à sucre, plus onéreuse mais beaucoup plus rentable [Quoi ?], en donnant des terres à des officiers supérieurs et en les encourageant à y importer des esclaves ; cependant la population d'esclaves diminue en Guadeloupe entre 1664 et 1671 (passant de 6 323 à 4 627 personnes).